Chèr(e)s Collègues, chèr(e)s Ami(e)s,
Que peut-on ajouter à tous ces compliments et à ces remerciements que le Président du Congrès, Jean-Marie Klinkenberg, vient d’adresser, si ce n’est qu’ils ne suffiront jamais à exprimer toute notre reconnaissance à l’égard des membres du Comité d’organisation, de nos collaborateurs, de nos partenaires ? Je vous redirai donc seulement et simplement, chèr(e)s Collègues et chèr(e)s Ami(e)s, le bonheur personnel que j’ai eu à travailler avec vous à ce grand, cet énorme, cet incroyable projet depuis six ans et que j’ai à travailler quotidiennement avec beaucoup d’entre vous depuis bien plus longtemps, avec certains depuis plus d’une vingtaine d’années !
Quelle équipe nous avons formée, et quelle équipée nous avons menée pour organiser ce congrès ! Nous avons tout connu : des moments d’enthousiasme, de frustration, d’angoisse, d’euphorie, de désarroi, de crispation, de rage, de déprime, d’exaltation, d’impatience, de surprise, de ravissement, de doute, de regrets, de déception, et d’enthousiasme finalement. Rien ne nous a été épargné! Aussi aimerais-je ici faire publiquement une promesse solennelle, chèr(e)s Collègues, celle de ne plus vous entraîner dans un tel projet… avant un certain temps ! Et également faire un acte de contrition aussi solennel : quand j’ai demandé à Jean-Marie Klinkenberg, il y a six ans, d’assurer la présidence du congrès, je me souviens lui avoir certifié que cette organisation serait quasiment comme un long fleuve tranquille, qu’il n’aurait à s’inquiéter quasiment de rien, que son rôle se limiterait quasiment à signer quelques lettres et à tenir quelques discours. Cela a été quasiment la vérité ! J’espère qu’un jour il me pardonnera de l’avoir embarqué sur ce navire dont il a été le capitaine courageux du premier au dernier jour ! Aussi aimerais-je – au nom de tout le Comité d’Organisation, comme au nom de nos partenaires et de tous les congressistes, et en mon nom personnel – lui dire encore une fois combien nous lui sommes reconnaissants d’avoir accepté cette présidence, de ne pas s’être cassé la jambe plutôt que de dire « oui » ce jour-là, comme il l’a quelques fois regretté… en plaisantant. Ceci dit, même avec un plâtre, nous l’aurions emmené à bord ! Nous lui sommes infiniment redevables d’avoir sacrifié à l’organisation de ce congrès autant de temps, d’ouvrage, de tranquillité, alors qu’il avait bien d’autres choses à faire, certainement moins stressantes. Nous, par contre, avec lui à la barre, nous avons travaillé avec l’assurance que non seulement nous maintenions le bon cap malgré la brume et les intempéries, mais qu’on pouvait compter sur son expérience (j’allais dire « sa sagesse », mais il n’aurait pas aimé) et sur sa diplomatie pour traverser les tempêtes, pour se concilier les vents, pour éviter les récifs, pour amadouer les pirates (nombreux), pour éviter les sirènes (un peu plus rares), et pour ramer, lui aussi, chaque fois que c’était nécessaire, tout en conservant la même humeur enjouée et le même esprit malicieux qui permettent, en travaillant avec lui, de toujours joindre l’agréable à l’utile, le léger au sérieux, le détail à l’essentiel, et vice versa. Et voici le Titanic arrivé à bon port, cette fois arrêté par nul iceberg grâce à Klinkenberg ! Merci pour tout ça et pour tout le reste, cher Jean-Marie ! Oserais-je dire que je suis prêt pour un autre congrès mondial avec toi quand tu veux ?
Les autres personnes que j’aimerais remercier, c’est vous, chèr(e)s Collègues congressistes! Vous remercier d’être venus aussi nombreux à Liège, d’aussi loin pour certains. Parmi vous, il y en a plusieurs pour qui le voyage jusque ici a représenté un vrai parcours du combattant : embarras pour se rendre disponible, démarches pour recevoir une bourse, tracasseries pour obtenir un via, difficultés pour organiser le déplacement, et autres obstacles à surmonter pour participer au congrès. Nous avons bien sûr une pensée pour les collègues qui n’y sont pas parvenus malgré leurs efforts et les nôtres. J’aimerais également vous remercier chacune et chacun pour votre contribution essentielle à la richesse, à la qualité, à l’intérêt des communications, des conférences, des débats, mais aussi des discussions de couloirs, de pause-café, de fin de soirée. Que ce soit sur des problèmes de fond ou sur des questions très techniques, que ce soit à propos de pédagogie, de littérature, de linguistique, de gestion de classe, de ressources, de politique éducative, et j’en passe, il me semble qu’il n’y a pas de sujet qui n’ait été abordé pendant le congrès d’où on sort aussi étonné par le professionnalisme que par l’engagement dont tous et chacun ont porté témoignage au cours de cette semaine. J’aimerais également vous remercier d’avoir fait de ces journées une grande fête de la langue française, d’avoir participé avec autant d’enthousiasme au programme culturel, d’avoir animé l’université et la ville de vos allègres va-et-vient et de votre bonne humeur, d’avoir incarné une semaine durant cette francophonie conviviale, fraternelle, joyeuse qui nous plaît tant. J’aimerais également vous remercier de vous être montrés compréhensifs devant les contrariétés et encombrements que l’on rencontre inévitablement dans un congrès d’une telle ampleur, et pour l’aide, les compliments, les remerciements que nous avons reçus de la part de beaucoup d’entre vous depuis le premier jour. J’aimerais vous remercier enfin pour les suites que chacune et chacun d’entre vous donnerez à ce congrès une fois que vous serez rentrés chez vous. La vraie réussite d’une telle rencontre se mesure en effet à long terme : je me réjouis de savoir ce que vous-même, vos collègues, vos étudiants ou vos élèves, vos responsables ou vos collaborateurs, en penserez dans une semaine, dans un mois, dans un an : « Ah ! Le congrès de Liège… !!! ».
Par ailleurs, ce congrès est aussi un moment un peu solennel puisque nous allons devoir dire « au revoir » à l’équipe qui a assuré jusqu’à aujourd’hui la direction de la FIPF, et avec quelles compétences et quel dynamisme ! Comme je les côtoie assidûment depuis un certain temps, je sais que, pour leur part, ils sont soulagés de passer le relais après autant d’années, autant d’efforts, autant de soucis : il faut dire que la FIPF a connu assez de vicissitudes ces dernier temps et que sans leur dévouement, elle ne serait certainement pas la fédération réputée, cohérente, dynamique, ambitieuse qu’ils transmettent maintenant à leurs successeurs un peu angoissés par la responsabilité d’être à la hauteur !
La dette à l’égard de Jean-Pierre Cuq est incommensurable. Faut-il rappeler qu’il est Président de la FIPF depuis 2008, après avoir été son Vice-Président depuis 2004, en plus, bien sûr, d’être professeur à l’Université de Nice et l’auteur d’une dizaine d’ouvrages qui font référence en didactique du FLE. Ce que je trouve personnellement le plus remarquable dans sa carrière est qu’il ait commencé par devenir instituteur, puis professeur des collèges, puis conseiller pédagogique, en Afrique du Nord, avant d’entamer une carrière universitaire. Il sait donc ce qu’enseigner veut dire, partout et à tous les niveaux ! Ses activités au sein et à la tête d’associations ne sont pas moins étonnantes puisqu’il a notamment été président de l’Association des directeurs des centres universitaires d’enseignement du français aux étrangers (ADCUEF) et de l’Association de didactique du français langue étrangère (ASDIFLE).
Durant ses deux mandats à la présidence de la FIPF, Jean-Pierre a pu – sur le plan de la communication – mener le grand projet de rénovation du Français dans le monde dont il peut être fier, de la revue Recherches et Applications qui a pris sa place dans le monde scientifique, de la transformation de Dialogues et Cultures, de la création puis la rénovation récente du site de la FIPF, de la prise en charge de francparler-oif.org, de la présence de la FIPF dans les réseaux sociaux; beaucoup d’initiatives qui donnent une forte cohérence à la FIPF du point de vue pédagogique pour les professeurs ainsi que du point de vue scientifique pour les chercheurs, mais qui lui donnent aussi une excellente visibilité vis-à-vis du monde extérieur.
Sur le plan organisationnel, on doit à Jean-Pierre d’avoir pu sauver la FIPF de la crise au moment de son second mandat grâce à un travail acharné mené avec Fabienne Lallement auprès des différents partenaires, eux aussi en difficulté, qui menaçaient de réduire drastiquement leur aide. C’est en rénovant la gestion, en resserrant le budget sans pour autant réduire les activités et les projets, qu’ils ont pu convaincre ces institutions et organismes que la FIPF ne pouvait être sacrifiée. Les liens avec l’OIF, en particulier, se sont resserrés grâce à eux sur base de valeurs et d’objectifs convergents. Autant pour son professionnalisme que pour ses ambitions, la FIPF est donc maintenant un acteur essentiel de la francophonie. Et elle doit le rester !
Parmi la liste des réalisations, congrès, publications, réseaux à mettre à l’actif de Jean-Pierre, je n’épinglerai que deux de ses projets les plus significatifs. D’abord, le projet CECA – « Culture d’Enseignement et Culture d’Apprentissage », en partenariat l’Agence Universitaire de la Francophonie (AUF) – qui relève de l’ethnologie de l’éducation et qui vise à répondre à la question, simple mais passionnante et fondamentale, de savoir comment on enseigne dans les classes du monde. Vingt pays différents s’y sont impliqués et de nombreuses communications, articles, ouvrages y font aujourd’hui référence. Ensuite, évidemment, le Livre blanc, qui marque d’une pierre blanche aussi l’histoire de la FIPF, conçu en lien étroit avec l’Observatoire de la langue française de l’OIF, n’est pas moins ambitieux puisqu’il présente une analyse de la situation de la langue française dans les systèmes éducatifs et universitaires du monde entier. Une grande première qui nous permet non seulement d’établir un état des lieux, mais aussi de dresser un plan d’action cohérent et pertinent pour l’avenir.
Un hommage en bonne et due forme à Jean-Pierre Cuq, pédagogue, didacticien, président, prendrait des heures, mais il n’est pas moins important de souligner qu’il est avant tout une des personnalités les plus attachantes, fiables, chaleureuses qu’on puisse rencontrer dans notre monde professionnel. Son agenda de chef d’Etat ne l’empêche pas d’être toujours disponible, sa détermination ne l’empêche pas d’être toujours conciliant, son carnet d’adresses ne l’empêche pas d’être toujours attentif à chacun. Comment ne pas mentionner son charisme, dû peut-être à son nœud papillon, à son chapeau d’explorateur, je ne sais pas? Mais il a le truc pour être chic, Monsieur Cuq : un vrai gentleman didacticien !
Dans son travail à la tête de la FIPF, Jean-Pierre a été soutenu par deux Secrétaires Générales remarquables, Madeleine Rolle-Boumlic, d’abord, et, depuis octobre 2012, Fabienne Lallement, que j’ai déjà citée et qui, elle aussi, va quitter le bateau de la FIPF pour s’embarquer dans d’autres projets plus personnels. La carrière de Fabienne, au départ philosophe (et elle l’est probablement toujours restée), avant de devenir didacticienne des langues, s’est essentiellement déroulée à l’étranger où elle a assuré des responsabilités de plus en plus importantes : au Maroc, au Venezuela, en Pologne, en Espagne, au Portugal, et dans bien d’autres pays encore, y compris la France, dans des Ambassades comme au service de l’OIF ou de l’AUF. Dans tous ces pays et institutions, on se souvient d’elle comme d’une infatigable et stimulante organisatrice. Comme je l’ai déjà dit, la survie de la FIPF doit beaucoup à l’énergie, à la rigueur, à la détermination de Fabienne. Je l’ai accompagnée à l’occasion de plusieurs missions, que ce soit au Canada, au Japon, en Espagne, pour constater qu’elle n’y a que des amis qui se réjouissent de sa visite, de sa collaboration, de ses conseils. Car c’est particulièrement encourageant et rassurant de travailler avec Fabienne pour qui « un chat est un chat », pour qui une question ne reste pas sans réponse, un problème sans solution, un collègue sans soutien. Fabienne a suivi l’organisation de ce congrès de Liège avec autant de minutie que de patience, surtout eu égard au tempérament un peu frondeur de ses collègues belges auxquels elle s’est adaptée, ce qui n’est pas son moindre mérite ! Plus personnellement, c’est à Fabienne que je dois le projet de ma candidature à la présidence de la FIPF à laquelle je n’aurais jamais osé penser sans sa suggestion. Peut-être le regrettera-t-elle plus tard,… ou moi ? En tout cas, Fabienne, tu vas nous manquer, même si je te rappelle ta promesse de nous faire profiter de tes conseils encore quelque temps !
Pour Raymond Gevaert, Vice-Président depuis le congrès de Québec en 2008, mais membre de son CA depuis 1998, la FIPF est une passion ! Sans compter sa longue et riche carrière d’enseignant, de formateur, d’animateur, de coordinateur, de responsable dans le domaine du français langue étrangère, notamment à la tête de l’association belge néerlandophone des professeurs de français, il s’est démené comme un beau diable depuis presque vingt ans pour contribuer à faire de la FIPF une fédération dynamique, efficace, visible, mais surtout humaine et conviviale. Impossible de dresser la liste de ses missions dans le monde, des congrès qu’il a encadrés, des projets qu’il a menés, des formations qu’il a assurées, encore moins des personnes qu’il a rencontrées, du ministre à l’élève, en passant par le professeur, bien sûr, mais aussi le journaliste, le scientifique, le diplomate, pour essayer de les convaincre, avec la ferveur qu’on lui connaît, que le français est belle langue à apprendre, à enseigner, à utiliser… et il y parvient !!! Peu de collègues étrangers que je rencontre ici ou ailleurs qui ne gardent un souvenir ému de leur rencontre avec Raymond à qui le qualificatif d’« ardent » convient aussi bien qu’à notre Congrès. Jean-Marie Klinkenberg a déjà insisté sur tout ce que congrès doit à l’expérience incomparable, au travail forcené et au dévouement illimité de Raymond ; je retiendrai surtout de lui sa capacité à réconcilier quand on se querelle, à rassurer quand on angoisse, à stimuler quand on fatigue, et, quand on se perd dans les tracasseries, les arguties, les bisbrouilles, de rappeler l’essentiel qui est le bonheur de travailler ensemble à un projet commun qui nous tient tous à cœur. Nous comptons sur toi pour nous le rappeler souvent encore, cher Raymond !
Anuradha Waglé, Présidente de l’IATF (Indian Association of Teachers of French) depuis 2006, est Présidente de la Commission pour l’Asie-Pacifique (CAP) et membre du Conseil d’Administration depuis 2008, et sa Vice-Présidente depuis 2012. Ses activités académiques, scientifiques et associatives en faveur du français ont largement été couronnées de succès, non seulement dans le cadre de la promotion de la langue française en Inde, pays qui compte aujourd’hui environ huit mille professeurs de français et plus d’un million d’étudiants, que dans celui de la valorisation et de la professionnalisation de cet enseignement dans son pays. Tout le monde se souvient de la belle réussite du congrès de Chennai qu’elle a organisé en 2013. Malgré les distances, son rôle de Vice-Présidente lui a permis de contribuer aux multiples projets de la FIPF et elle a suivi très attentivement l’évolution de l’organisation du congrès de Liège.
Après les départs simultanés des membres cette éminente équipe et surtout après leurs brillantes réussites tout au cours de ces années, la tâche sera rude pour leurs successeurs qui devront se montrer à la hauteur d’un tel héritage, pour moi le premier ! Comme je l’ai déjà fait, je remercie encore les membres de l’Assemblée générale de la FIPF pour la confiance qu’ils m’ont témoignée en faisant de moi leur président pour les quatre prochaines années. Je ne reviendrai pas ici sur les objectifs prioritaires et les méthodes de travail que j’ai proposés en présentant ma candidature et qui doivent être discutés, planifiés, précisés et surtout mis en œuvre avec le nouveau Bureau, mais je tiens tout de même à répéter que ma priorité sera avant tout de profiter des considérables avancées accomplies par Jean-Pierre Cuq et son équipe. Si je devais résumer en quelques mots clés ce qui me semble primordial dans leur travail et ce qui inspirera le nôtre, je dirais : professionnalisme et crédibilité, communication et partenariat, dynamisme et flexibilité, détermination, voire militantisme, et efficacité, convivialité et humanisme. En tout cas, ils resteront longtemps des exemples dans les annales de la FIPF, et j’espère qu’ils resteront encore un peu de temps disponibles pour nous faire profiter de leur expérience et de leurs conseils, ce dont je les remercie déjà. Je remercie aussi les membres de la FIPF pour la patience et la compréhension qu’ils voudront bien nous témoigner les premiers mois, le temps de nous familiariser avec ces nouvelles responsabilités et de prendre nos marques.
Mes inquiétudes face au défi sont soulagées quand je me vois aussi bien entouré. Je me réjouis de faire équipe avec les deux Vice-Présidentes, Doina Spita et Sylvia Eid, qui ont l’une comme l’autre beaucoup à apporter à la Fédération, autant en termes d’expériences que d’initiatives, ainsi qu’avec les nouveaux présidents de commissions et les autres membres du CA. Je voudrais plus particulièrement saluer le prochain Secrétaire Général, Stéphane Grivelet, qui prendra la succession de Fabienne Lallement dans un mois. Stéphane connaît bien l’enseignement pour avoir été lecteur, maître de conférence, conseiller pédagogique ; il connaît bien le monde pour l’avoir parcouru dans tous les sens, y compris la Finlande, pays qui m’est cher ; il connaît bien le fonctionnement des ambassades et des institutions de la francophonie pour avoir été Attaché de coopération, Directeur délégué aux programmes du bureau Asie-Pacifique de l’AUF à Hanoï et finalement Coordonnateur du pôle Francophonie universitaire à Montréal. Une telle expertise et une telle expérience ne peuvent que profiter pleinement à la FIPF et, pour ma part, je suis à la fois ravi et rassuré de pouvoir compter sur un Secrétaire Général tel que Stéphane.
Je ne vais pas garder plus longtemps la parole, seulement vous donner rendez-vous non pas seulement dans quatre ans, pour le congrès de Nabeul, mais bien plus tôt à l’occasion d’autres congrès, colloques, projets, rencontres, et bien sûr, de manière plus systématique, sur notre réseau que nous allons optimaliser au maximum. Je vous remercie encore toutes et tous ARDEMMENT d’avoir été partie prenante de ce congrès de Liège; je vous souhaite bon retour chez vous, en espérant que vous pourrez bénéficier longtemps des effets positifs de cette rencontre mondiale dans votre vie professionnelle et personnelle.
Jean-Marc DEFAYS